Je m'appelle Dominique
presse
« Depuis 2018, les éditions marcel affirment leur approche totale de la littérature. Moderne ? Vivante ! »
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« Figé et intemporel, l’écrivain se préfigure un monde dans lequel il n’est que soustraction »
Pleine page de Sonia Lounès dans Artpress, novembre 2022,
à propos d’Autoportrait 33 de Félix Macherez
« Le bruissement sensoriel de Georgina Tacou s’accomplit, au moment de l’apocalypse, en deux pages extatiques où tous les instants de sa vie lui reviennent. C’est une splendeur. Procurez-vous ce livre gorgé de soulèvements ivres : on y voit scintiller ces petites lumières qui clignotent à l’intérieur de chaque nuance, et qui sont le secret de la littérature. (…) Les petits éditeurs font de grands livres, loin du tintamarre commercial. Leur amour de la littérature est un acte intime. Celui d’acheter leurs livres est politique. »
Yannick Haenel dans Charlie Hebdo, à propos de Nous le printemps de Georgina Tacou, novembre 2019
« Dans un texte croisé avec celui de Hugo, l’autre lune nous apparaît sous la plume plus sobre de Nina Leger : l’astre bien tangible que foula Armstrong en 1969. (...) Voilà un portrait bien nuancé, qui ne confine pas à la géographie. (...) Il faut un sacré cran pour se confronter au vieux Hugo. »
Simon Bentolila dans La Nouvelle Quinzaine littéraire, mai 2019
« Ne vous fiez pas au titre ! (…) »
Simon Bentolila dans La Nouvelle Quinzaine littéraire, 2019,
à propos de Femmes, soyez soumises à vos maris de Voltaire
« Pour que deux textes cohabitent sans s’ignorer ou s’entre-dévorer, il faut placer tous les espoirs et toutes les chances, tous les hasards aussi, dans l’espace qui les sépare, dans cette distance qui, bien qu’infranchissable, va devoir apprendre à vibrer. C’est du casse-gueule à fond la tranchée. Mais parfois, ça marche, il se passe quelque chose, quelque chose se met à coïncider ; confrontés, pour ainsi dire, front contre front, deux textes finissent par dégager une chaleur autre. (…) Là où Victor Hugo partait d’une tache sombre pour monter vers un sens de plus en plus lumineux, Nina Leger, à travers le récit de la mission Apollo XI, va procéder autrement : de la flore stellaire au dénuement humain. (…) Mission Stark réussie. »
Claro dans Le Monde des Livres, novembre 2018
« Il y a des auteurs pour qui c’est le livre ou rien. C’est le cas de Boris Bergmann, 25 ans, quatre romans et un prix de Flore décroché au lycée. Ce jeune auteur parisien s’est exilé pour un an à la Villa Médicis à Rome, où... devinez quoi ? Il écrit. Un roman cet hiver, Nage Libre, qui nous apprend à nager au fin fond du 19e arrondissement de Paris, et une nouvelle au printemps, Dites-le avec des peurs. On le surnomme le ‘‘ nouveau Beigbeder ’’, il n’a pas kiffé. Rencontre avec un millenial qui n’aime pas Internet. »
Pauline Baduel dans Clique TV, avril 2018
« Les éditions marcel mêlent habilement classique et contemporain et entendent bien rafraîchir le paysage littéraire français. (…) La jeunesse parisienne rencontre ses écrivains et redécouvre ses classiques. »
Simon Bentolila dans La Nouvelle Quinzaine littéraire, avril 2018